Le Patron étant occupé ce dimanche, je suis passée à l'atelier faire mes devoirs seule... Bon, la Patronne était là (merci encore pour le thé et la part de gâteau !) et le Patron est quand même venu s'assurer que je ne reste pas les bras croisés !
J'ai commencé par poncer l'enveloppe de la chaudière afin de la préparer à accueillir la couche de peinture. J'ai également adouci certains angles histoire de ne pas m'y tailler les doigts dessus plus tard...
J'attaque ensuite la porte de la boîte à fumée ! Déjà, je me rends compte que je n'ai pas le volant pour la fermer... Il me faudra donc passer une (dernière ?) petite commande.
Je commence par limer les gonds (il faudra que je me vérifie qu'il s'agit bien du terme technique... Ahem...) afin que la porte, une fois fixée, puisse s'ouvrir. Puis je donne un léger arrondi au contour de la porte elle-même.
Ma technique de limage sur matériaux doux est encore à améliorer, j'en ai peur... J'ai donc arrêté le massacre avant de faire une bêtise ! - On ne se rend compte de l'utilité d'un Patron que quand on n'en a pas sous la main ! - *
Le travail continu d'avancer et je reprends le rythme samedi. J'ai même un horaire de pointage,
ça ne rigole plus !
* L'utilité du Patron a en réalité été prouvée depuis bien longtemps et n'a pas nécessité son absence. Cette phrase n'est là que pour pouvoir placer au moins un jeu de mot dans ce billet. Des couturiers parmi vous ?