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15 juillet 2016 5 15 /07 /juillet /2016 17:58
Au bout d'un moment, on ne compte plus.

Retour à l'atelier dimanche dernier pour continuer l'usinage des boîtes d'essieu.

Maintenant que j'ai des angles droits (plus ou moins, une des pièces s'est avérée un peu récalcitrante), je peux les fraiser pour avoir la bonne hauteur.

Au bout d'un moment, on ne compte plus.

Il me faut ensuite fraiser une 'fente' (ce n'est certainement pas le terme technique, mais c'est le seul mot qui me vienne...) de chaque côté des boîtes.

Au bout d'un moment, on ne compte plus.

Il faut pas mal de patience, d'autant que je fais tout manuellement, n'osant pas utiliser l'avance automatique... Puis je fini par demander au Patron comment faire pour l'utiliser, histoire de faire les dernières pièces un peu plus facilement.

Je fais donc une passe en avance automatique, puis une deuxi......

Au bout d'un moment, on ne compte plus.

On pourrait croire que je teste les limites du Patron, mais je vous promets que non !

Encore un outil cassé à mon actif et la raison pour laquelle je rechigne à utiliser l'avance automatique. La prochaine fois, je continuerai à l'huile de coude, c'est plus sûr !

Après recherche, le Patron déniche une nouvelle fraise de 4 toute neuve et je peux finir mes travaux.

Au bout d'un moment, on ne compte plus.

Je ne m'en sors pas trop mal au final, mais j'ai eu chaud (à tous les sens possible du terme d'ailleurs).

Retour à l'atelier dimanche pour une dernière session avant un petit break estival (il faudra que je pense à le dire au Patron... Ahem...).

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